Les lycéens de Coutances plaident pour les droits de l’Homme

Lycéenne à Lebrun, Chloé Legoguelin a défendu la cause des handicapés mentaux, ce jeudi matin, dans le cadre du concours de plaidoirie. | Ouest-France

Lycéenne à Lebrun, Chloé Legoguelin a défendu la cause des handicapés mentaux, ce jeudi matin, dans le cadre du concours de plaidoirie. | Ouest-France

La Ligue des droits de l’Homme organise, ce jeudi 24 mars, un concours de plaidoiries, dans le cadre des journées solidaires.


Le jury est composé de membres de la Ligue des droits de l’Homme, tout comme de trois lycéennes de Lebrun, les Sapins et du lycée nature. Ce jury doit écouter les 22 plaidoiries présentées par des lycéens de la ville, ce jeudi 24 mars.

Les lycéens sont jugés sur leur clarté, leur conviction, leur élocution, l’organisation de leur plaidoirie ou encore leur argumentation.

Les plaidoiries se déroulent, salle Simon-Igel au lycée Lebrun, jusqu’à 12 h, puis de 13 h 30 à 17 h. Les prix seront remis entre 17 h 15 et 17 h 30.

Le 24/03/2016
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Mathématiques : un jeu du chaos au lycée Lebrun à Coutances

Un jeu du chaos au lycée Lebrun, à Coutances, est proposé par Jean-Philippe Poutrel, professeur de mathématiques, avec Anna et Emma, en 1re S. | Ouest-France

Un jeu du chaos au lycée Lebrun, à Coutances, est proposé par Jean-Philippe Poutrel, professeur de mathématiques, avec Anna et Emma, en 1re S. | Ouest-France

C’est la semaine des mathématiques ! Au lycée Lebrun à Coutances, un jeu du chaos a été installé. Elèves et professeurs peuvent participer à ce jeu mystère.

Le 14 mars (14/03 ou 03/14, comme 3,14 le nombre de Pi) marque le début de la semaine des mathématiques. Au lycée Lebrun, un jeu du chaos a été installé dans le CDI. Sur une feuille punaisée au mur, un triangle équilatéral a été dessiné.

Pour jouer, il faut lancer un dé à six faces (pour déterminer le sommet du triangle). On mesure ensuite la distance entre le sommet désigné et le dernier point placé. On place le nouveau point à la moitié du segment mesuré.

Du chaos à la structure ordonnée

Pour l’instant, ce triangle n’est que chaos, avec des dizaines de points disséminés. Mais d’ici vendredi, une structure ordonnée va apparaître, à condition qu’au moins 1 000 points soient placés. « L’objectif, c’est de casser l’image austère des maths tout en jouant », défend Jean-Philippe Poutrel, professeur de mathématiques et membre de l’Irem (institut de recherche sur l’enseignement des mathématiques).

Réponse en fin de semaine

Le jeu fonctionne auprès des élèves. « Je pense qu’il va se dessiner un rond », imagine Emma, en première S. « On a envie de savoir », ajoute Anna. Réponse en fin de semaine.

Le 14/03/2016
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Le corps à l’œuvre, exposition des lycéens de Lebrun à Coutances

Quand les lycéens utilisent « Ouest-France » pour faire de la sculpture… | Ouest-France

Quand les lycéens utilisent « Ouest-France » pour faire de la sculpture… | Ouest-France

Les élèves du lycée Lebrun à Coutances, section arts plastiques, exposent leurs oeuvres au musée Quesnel-Morinière, jusqu’au 26 mars.

Le musée a connu, vendredi, lors du vernissage, une belle affluence de jeunes visiteurs. Les élèves du second cycle du lycée Lebrun, section arts plastiques, ont présenté un mix des œuvres réalisées lors de leurs travaux dirigés par Ronan Descottes, professeur d’arts plastiques.

Photo, vidéo, sculpture, peinture, numérique…

Sur le thème du rapport au corps, les élèves ont travaillé avec plusieurs outils de communication : photo, vidéo, sculpture, peinture, numérique, etc. « Nous voulions envisager les aspects reliant l’art au corps, le musée nous offre, depuis de nombreuses années, la possibilité de montrer les travaux des élèves », a souligné l’enseignant.Josette Leduc, adjointe à la culture, était présente au vernissage.

Le 06/03/2016
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Lycéen à Coutances, Estèphe Lesaulnier filme la mémoire

Estèphe Lesaulnier met sa caméra au service de la mémoire.

Le jeune cinéaste Estèphe Lesaulnier, élève au lycée Le Brun, à Coutances, prépare un film dans le cadre des Sentiers de la mémoire.

Il n’a jamais pris de cours de cinéma mais a déjà réalisé plusieurs courts-métrages. « J’aime raconter des histoires, rencontrer des gens », explique Estèphe Lesaulnier.

« C’est chaud patate »

L’élève de terminale du lycée Charles-François Lebrun a présenté récemment son dernier film,C’est chaud patate, devant plus de 100 personnes lors d’une projection au centre d’animation Les Unelles.

Un projet qui avait commencé en juin dernier et qui a réuni 27 de ses camarades du collectif Movie Light Studio. « Faire ce film était aussi une manière de tous nous réunir avant le bac et le départ pour les études supérieures. »

Études supérieures de cinéma

Le jeune Coutançais a déjà une idée bien précise de ce qu’il souhaite faire une fois le bac en poche : étudier le cinéma à la Sorbonne ou dans la prépa du lycée Guist’hau de Nantes. Deux cursus très sélectifs.

Le 07/02/2016
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Les lycéens de Lebrun à Coutances commémorent l’Holocauste

Ce mercredi 27 janvier, journée internationale de la mémoire de l'Holocauste, 156 jeunes du lycée Lebrun se succèdent pour lire les noms 41 096 noms de victimes et Justes. | Ouest-France

Ce mercredi 27 janvier, journée internationale de la mémoire de l’Holocauste, 156 jeunes du lycée Lebrun se succèdent pour lire les noms 41 096 noms de victimes et Justes. | Ouest-France

Ce mercredi 27 janvier, journée internationale de la mémoire de l’Holocauste, 156 jeunes du lycée Lebrun se succèdent pour lire les noms de 41 096 victimes et Justes.

Ce mercredi 27 janvier, des lycéens de Lebrun à Coutances lisent de 8 h à 12 h les noms des Roms et Juifs tués au camp de concentration de Jasenovac, en Croatie, les noms des Tsiganes du Convoi Z, les noms des Juifs tués lors du pogrom de Bucarest ou encore les noms de Justes de plusieurs pays. Au total, 41 096 noms.

« Cela ravive la mémoire de ces victimes qu’il ne faut pas oublier », explique Nicolas, lycéen en Terminale.

Cette lecture est organisée alors qu’aujourd’hui, 27 janvier, est la journée internationale de la mémoire de l’Holocauste et de la prévention des crimes contre l’humanité.

En fin de semaine, un groupe de lycéens s’en ira pendant douze jours en Roumanie, Serbie, Croatie et Pologne pour rendre hommage aux victimes sur les lieux de massacres et de déportation.

Le 27/01/2016
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Une salle au nom de Simon Igel au lycée Lebrun à Coutances

Lors de son inauguration au lycée Lebrun à Coutances, la salle Simon Igel a résonné des chants yiddish interprétés par des lycéens. | Ouest-France

Lors de son inauguration au lycée Lebrun à Coutances, la salle Simon Igel a résonné des chants yiddish interprétés par des lycéens. | Ouest-France

À l’initiative de la junior association des Sentiers de la mémoire, l’ancienne chapelle désacralisée du lycée Lebrun à Coutances a été nommée salle Simon-Igel.

Le 23 novembre, à l’initiative de la junior association des Sentiers de la mémoire, le conseil d’administration du lycée Lebrun a approuvé, à l’unanimité moins une voix, de nommer l’ancienne chapelle désacralisée du lycée salle Simon-Igel.

Simon Igel avait été déporté à Bergen-Belsen

Simon Igel, décédé en février 2015, à Flers, était né en 1927 en Pologne et a connu très jeune l’obligation de porter l’étoile jaune. Le jour de ses 16 ans, le 18 août 1943, il est arrêté par la Gestapo à Saint-Etienne. Déporté à Auschwitz, il y arrive en octobre 1943. Le matricule 157085 y restera jusqu’en janvier 1945, avant de participer aux marches de la mort et d’être libéré le 15 avril du camp de Bergen-Belsen.

Il venait au lycée témoigner

Ses journées de déporté, la faim, le froid, la bestialité des kapos, la pénibilité du travail, Simon Igel les avait racontés une première fois en janvier 2007 aux élèves de Lebrun. Un témoin particulièrement précieux pour l’association et les lycéens, qu’il avait ensuite rencontrés régulièrement jusqu’en 2013. Il avait été à l’origine de la création des Semaines de la mémoire, organisées par les Sentiers de la mémoire.

Le 26/01/2016
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